Christ, Roi Berger

« Je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos …» (Mt 11, 29) Celui-ci qui parle est notre Roi Berger, il possède tous les pouvoirs divins, mais il demeure toujours petit, discret et patient. Il a la force, mais il ne s’impose pas. Il marche devant nous avec un bâton d’amour. Il connait le chemin, car lui-même l’a suivi, celui de « faire la volonté de son Père sur la terre comme au ciel », un chemin du don de lui-même pour nous, il a tout donné pour nous, même pendant les moments les plus sombres de la vie, il est là pour nous. Il parle à notre cœur avec une voix qui traverse nos faiblesses, cette voix que l’on rencontre sur le chemin de la vie. Tout parle de lui, il suffit d’ouvrir les oreilles et les yeux de nos cœurs. En lui nous avons le repos car c’est pour lui que nous avons été créés. « Écouterez-vous ma parole ? » (Ps 94,7)

Seigneur, merci de nous avoir appelés à te suivre et merci d’être notre Roi, j’ai confiance que « Grâce et bonheur nous accompagneront tous les jours de la vie et que nous habiterons la maison du Seigneur pour la durée de nos jours. » (Ps 22, 6)

Robert Mc Keon, diacre

Restons Christo centriques

Les dimanches quand nous sommes à la messe nous rendons grâce au Père Tout Puissant pour le don de notre salut. Le Christ est au centre de la messe, présent dans le pain et le vin consacrés, dans la proclamation des Écritures, dans le célébrant et dans les fidèles qui assistent. C’est pour cela que le père De Lubac disait que « l’Eucharistie fait l’Église ». Le mot église vient du latin ecclésia : ensemble, nous formons une assemblée convoquée par Dieu. C’est ainsi que le Père Tout Puissant nous appelle à nous regrouper autour du Christ. La messe, est l’acte Christo centrique parfait. En confinement, nous avons peut-être l’impression que parce que nous ne pouvons plus aller à la messe, le Christ s’éloigne de nous. Serait-ce possible ? Rassurez-vous : non ! 

L’adoration eucharistique est une occasion tout à fait propice de se retrouver autour du Christ présent dans l’ostensoir comme dans le calice pendant la messe. Nous pouvons lui rendre grâce, lui parler, le supplier … comme nous le faisons après la communion. Là encore, nous sommes Christo centriques.

Même si nous ne participons pas à l’adoration, le Christ veut entrer dans nos cœurs : 

« Voici que je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui ; je prendrai mon repas avec lui, et lui avec moi. » (Apoc 3, 20) Rappelons-nous ce tendre appel. Ne nous décourageons pas parce s’il n’y a pas de messe pendant le confinement, être Christo centrique est toujours possible, c’est à nous de jouer.

                                                                                   Robert Mc Keon, diacre

Voici l’Epoux, sortez à sa rencontre !

Au milieu de la nuit, qui parfois nous semble interminable, que nous soyons insouciants ou prévoyants, nuit de la maladie ou de la solitude, nuit de l’angoisse ou de la peur, un cri se fait entendre : « Voici l’Epoux, sortez à sa rencontre ! ». Ces semaines de confinement nous privent de la communion eucharistique, de la nourriture des rencontres amicales et fraternelles, de la joie de voir et de sentir la présence des autres, nous qui sommes faits pour ces relations. Au milieu de la nuit nous entendons ce cri : « Voici l’Epoux ». Ce temps nous est donné pour contempler le visage du Christ, notre Epoux, Bien-aimé, gravé en nous, ce corps du Christ tissé de tous ces visages de ses frères et sœurs, de ceux qui nous aiment et que nous aimons, de ceux que nous n’aimons pas ou pas assez, qui ne nous aiment pas ou que personne n’aime. Ecoutons ce cri. Et poussons ce cri : « Voici l’Epoux ! » afin que ce confinement soit missionnaire !

« Sortez à sa rencontre ». Nous pouvons sortir, venir à l’église ou prier à la maison, vivre cet exode intérieur que constitue la foi, par une prière plus fervente, comme le psalmiste : « Mon âme a soif de toi, je reste des heures à te parler ». Nous pouvons sortir pour écouter la Parole qui met notre cœur au large, pour y découvrir cette « sagesse resplendissante », que nous cherchons et qui nous précède toujours (rendez-vous chaque samedi à 17h pour méditer et échanger sur les lectures du dimanche en cliquant ici).Nous pouvons sortir pour visiter nos frères et sœurs les plus vulnérables, pour prendre soin des personnes isolées ou qui dorment dans la rue par les veilleurs de proximité ou les maraudes du mardi. Nous voulons partager notre huile, même si nous en avons peu. Nous voulons être des veilleurs de la charité et de l’espérance. « Il ne faut pas que vous soyez abattus comme ceux qui n’ont pas d’espérance » selon les mots de saint Paul aux Thessaloniciens.

Père Jean-Baptiste Arnaud, curé

Des reliques, des curieux, des saints

En ce jour de la Toussaint – et aussi demain jour de prière pour les défunts – notre paroisse accueille les reliques de sainte Geneviève, patronne de Paris, à l’occasion des 1600 ans de sa naissance. Déjà il y a trois semaines nous avons fêté saint Louis et parcouru en procession l’Ile qui porte son nom avec ses reliques. Que faisons-nous lorsque nous vénérons ainsi les reliques ? Nous savons bien que nous ne sommes pas en train d’idolâtrer des hommes des femmes, trop conscients d’être de pauvres pécheurs, mais qui pourraient faire concurrence à Dieu ou susciter une dévotion obscure et superstitieuse. En encourageant le culte des saints, l’Eglise nous invite à reconnaître dans leurs reliques un témoignage humble et concret, un signe tangible et historique du fait que ces personnes ont vécu les Béatitudes, et ont été canonisés par l’Eglise, qui en tremblant reçoit de Dieu la capacité d’anticiper le jugement dernier.

Les reliques sont des signes qui nous permettent d’adorer le seul Saint, de reconnaître l’unique Seigneur, et d’accueillir notre vocation à la sainteté, à vivre comme ces frères et sœurs qui nous ont précédés, à entrer dans leur famille et leur communion. La sainteté n’est pas un mérite ou un privilège à conquérir. Elle est une grâce à recevoir dans le baptême, un don déjà offert etqui ne demande qu’à être déployé jour après jour.

Le dimanche 13 décembre, à la messe de 11h, nous accueillerons tous les « curieux » que nous aurons invités à « passer une tête le temps d’une messe ». Qui sont-ils ? Nos amis, nos collègues, nos voisins, des membres de nos familles, qui ne sont pas ou plus habitués à entrer dans une église et encore moins à participer à la messe. Nous voulons que la sainteté rayonne ! Les saints accueillent les saints ! Les pécheurs invitent les pécheurs à s’approcher de la source de la miséricorde, à rencontrer Dieu qui les aime. Nous voulons être les serviteurs de la sainteté de nos frères, de cet « appel universel à la sainteté » dont parle le concile Vatican II. Conscients que notre vie personnelle et communautaire est le fruit de la miséricorde de Dieu, nous pleurons de ne pas être encore saints, nous laissant consoler par Dieu pour transmettre cette consolation, partager notre espérance et notre joie dans un monde et un temps qui parfois en manquent. Nous serons aussi relancés et stimulés par la curiosité et la foi de ceux que Dieu appelle et que nous choisirons d’inviter le 13 décembre. Bonne fête de la Toussaint !

Père Jean-Baptiste Arnaud, curé

Un amour véritable qui vient du cœur

Comme dans l’Évangile de dimanche dernier, les Pharisiens posent une question difficile à Jésus pour le mettre à l’épreuve: « Maître, dans la loi, quel est le grand commandement ? » C’est difficile, parce qu’il y a 613 commandements dans la Torah. Face à cette multitude de préceptes, il est difficile non seulement de les retenir mais aussi de les pratiquer. Mais Jésus leur répond en rappelant juste la prière quotidiennes des juifs qui est le Shema, le crédo d’Israël : «Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit» (Dt 6,5) et il rajoute le second : «Tu aimeras ton prochain comme toi-même» (Lv 19,18). Ces deux commandements se résument dans un mot : aimer. Oui, l’amour de Dieu et l’amour du prochain ont la même importance. Ils résument surtout la multitude des autres commandements (le Décalogue). 

Au milieu des conflits politiques et religieux de son temps, Jésus nous ramène à l’essentiel, vers l’amour véritable. Un amour véritable qui vient du cœur, se prouve non pas par les paroles, mais par l’action. Cependant, qu’est-ce qui importe au Seigneur ? Que nos actions ne soient pas souillées par l’orgueil, l’égoïsme et la sensualité mais qu’elles proviennent d’un cœur pur et aimant. C’est la preuve d’une âme dévouée au Seigneur et à la recherche d’une vie exemplaire pour sa famille et ses voisins. Parler de la charité c’est parler du grand secret par lequel l’Église a révolutionné le monde. L’expansion des communautés chrétiennes montre au monde qu’il est possible d’aimer sans barrières de race, de sexe, de culture ou de statut social. C’est une des contributions les plus nobles du christianisme envers l’humanité.

L’Église a connu un tel succès, c’est grâce au Christ. Lui seul a parfaitement accompli ce grand commandement d’amour. Les souffrances du Christ jusque sur la croix sont la preuve de l’amour personnel de Dieu pour chacun d’entre nous. Dieu prend l’amour au sérieux et c’est pourquoi Il nous commande d’aimer. Ne pas aimer ne fait pas partie du plan de Dieu. Notre vie, notre salut éternel dépendent de notre volonté d’aimer Dieu et notre prochain. «Si vous n’aimez que ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? » (Mt. 5, 46-47). 

Père Joseph Nam NGUYEN

Rendre à Dieu ce qui est à Dieu

Avez-vous remarqué comme nous cloisonnons volontiers les différents domaines de notre vie ? Il y a le temps du travail et celui des loisirs, les temps profanes et les temps sacrés, bref, il y a le domaine où nous « rendons à César ce qui est à César » et celui où nous « rendons à Dieu ce qui est à Dieu », dans un partage équitable entre le temporel et le spirituel. Mais n’est-ce pas là une lecture un peu rapide des paroles du Christ ?

La question posée à Jésus ne porte que sur un aspect matériel. Jésus répond en se situant à un autre niveau : il rappelle Dieu. Aussi, n’est-ce pas tant en terme de partage mais de hiérarchisation que nous devons entendre sa réponse. Jésus nous indique ainsi qu’il n’y a qu’un seul absolu, Dieu. Et si chaque chose du temporel a sa place, elle l’acquiert relativement à l’absolu de Dieu.

Rendons donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu, et que ce qui est à César devienne pour nous chemin vers Dieu.

Ce dimanche d’octobre c’est aussi la Journée Mondiale Missionnaire. « En cette année, dit le pape François, marquée par les souffrances et les défis causés par la pandémie de COVID 19, ce cheminement missionnaire de toute l’Eglise se poursuit à la lumière de la parole que nous trouvons dans le récit de la vocation du prophète Isaïe : « Me voici : envoie-moi ! » (Is 6, 8). C’est la réponse toujours renouvelée à la question du Seigneur : « Qui enverrai-je ? » (ibid.). Cet appel provient du cœur de Dieu, de sa miséricorde qui interpelle tant l’Eglise que l’humanité, dans la crise mondiale actuelle. « Comme les disciples de l’Evangile, nous avons été pris au dépourvu par une tempêteinattendue et furieuse. Nous nous rendons compte que nous nous trouvons dans la même barque, tous fragiles et désorientés, mais en même temps importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter mutuellement. Dans cette barque…nous nous trouvons tous. Comme ces disciples qui parlent d’une seule voix et dans l’angoisse disent : « Nous sommes perdus » (v. 38), nous aussi, nous nous sommes aperçus que nous ne pouvons pas aller de l’avent chacun tout seul, mais seulement ensemble » (Méditation à la Place Saint Pierre, 27 mars 2020).

Nous sommes vraiment effrayés, désorientés et apeurés. La douleur et la mort nous font expérimenter notre fragilité humaine ; mais en même temps, nous reconnaissons que nous sommes tous habités par un profond désir de vie et de libération de mal. Dans ce contexte, l’appel à la mission, l’invitation à sortir de soi-même par amour de Dieu et du prochain, se présente comme une opportunité de partage, de service, d’intercession. La mission, que Dieu confie à chacun, fait passer du moi peureux et fermé au moi retrouvé et renouvelé par le don de soi ».

P. Ovidiu ROBU

« Frères, ne soyez inquiets de rien … la paix de Dieu, qui dépasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.» (Ph 4, 6-7)

Il est vrai que quand l’inquiétude nous envahit, il est bien difficile de trouver réconfort. Paul connait bien ce genre de misère et pourtant il nous exhorte avec une solide assurance. Il sait bien que nous sommes faibles et assure que c’est dans nos faiblesses que nous découvrons la grâce du Seigneur qui agit au fond de nous. Quand l’inquiétude nous prend à la gorge, Paul nous rappelle de garder « nos cœurs et nos pensées dans le Christ Jésus. » Rien ne peut nous séparer de l’amour du Christ.

Quand nous sommes centrés sur le Christ, les inquiétudes peuvent nous attaquer avec force, mais ne peuvent pas chasser le Christ. Nous sommes dans le Christ, comme si nous étions au fond d’une grande coupe, seule notre attention est atteinte. Nous sommes en équilibre stable.

Quand l’inquiétude nous prend, ressaisissons-nous sur le Christ par nos prières et supplications, ouvrons nos cœurs pour mieux recevoir « la paix de Dieu, qui dépasse tout ce qu’on peut concevoir. »

Robert Mc Keon, diacre

«Mon enfant, va travailler aujourd’hui à ma vigne» (Mt 21,28)

L’Évangile de ce dimanche parle d’un propriétaire de la vigne qui demande à ses fils d’aller travailler à sa vigne. On peut comprendre que ce propriétaire n’est autre que Dieu lui-même. C’est un Père doux et humble qui se penche sur son fils et l’appelle son enfant. Il l’envoie travailler à sa vigne afin de témoigner de sa présence, de sa bonté, de sa justice, de la venue de son Règne dans un monde qui a perdu le sens de son existence. Le premier fils refuse tout net, mais revenant sur sa décision, il part ensuite à la vigne paternelle. 

Le second dit qu’il va à la vigne mais il n’y va pas. En décrivant le comportement de ce fils qui accepte sans donner suite à son acceptation, Jésus dénonce précisément l’attitude des grands prêtres et des anciens du peuple. Ces derniers enseignent en effet la Loi et sont très exigeants sur les détails de son application. Ils paraissent convaincus d’être justes mais méprisent les autres. Leur cœur est resté fermé face à l’appel à la conversion de Jean-Baptiste. 

En parlant des attitudes différentes de deux fils, le Seigneur Jésus nous montre le vrai problème qui est la rencontre de l’homme et de la volonté de Dieu. Oui, notre rencontre avec la Parole de Dieu est le tout de notre vie et nous encourage au plus profond de nous-mêmes. Elle nous appelle ainsi à suivre l’exemple du Christ doux et humble, sans rester sur un refus d’apporter aide et soutien à ceux qui en ont besoin. Comme Saint Paul nous encourage : “Que chacun de vous ne soit pas préoccupé de ses propres intérêts ; pensez aussi à ceux des autres” (Ph 2,4). Ces paroles sont-elles pour moi une invitation à m’investir dans un tel ou tel service dont l’Église a besoin ? 

Père Joseph Van Nam NGUYEN 

Ayons “un comportement digne de l’Évangile du Christ”…

Ayons “un comportement digne de l’Évangile du Christ”, nous exhorte saint Paul dans la liturgie de ce dimanche. Par cette phrase si simple, mais si engageante, nous sommes invités à sans cesse nous rajuster à la volonté de Dieu. Mais voilà, et comme l’a si bien dit le bienheureux Nicolas Barré, “beaucoup acceptent de servir Dieu, mais peu acceptent que Dieu se serve d’eux.” Il n’est pas toujours facile, même avec la meilleure volonté qui soit, de discerner et d’accueillir la volonté de Dieu.

C’est avec ce désir premier de servir le Seigneur que je suis entré en 2012 au séminaire de Fréjus-Toulon, étant originaire de Marseille, non loin de là. Depuis mes premières années de formation et jusqu’à ce jour, j’apprends donc peu à peu, parfois non sans résistances, à me laisser faire par Dieu. C’est ainsi qu’à la fin de mon cycle de philosophie, j’ai discerné un appel à m’enraciner un peu plus dans les terres paternelles, en Bourgogne, où j’ai rejoint le diocèse d’Autun-Chalon-Mâcon. Ordonné diacre en 2019, j’ai vécu une formidable année pastorale dans la paroisse de Chalon-sur-Saône, jusqu’à mon ordination sacerdotale le 28 juin 2020, à la cathédrale d’Autun. Envoyé par mon évêque, je rejoins aujourd’hui Paris pour une licence de théologie biblique aux Bernardins. Et c’est avec une immense joie que je découvre la paroisse Saint Louis en l’Ile qui m’accueille fraternellement pour ces deux années d’études. Une fois par mois, et durant les vacances scolaires, je retournerai dans mon diocèse pour quelques missions pastorales. 

Un grand merci pour votre accueil et votre prière qui me sont si précieux. Je serai heureux de toujours plus vous connaître, alors n’hésitez pas à me solliciter, je suis là pour vous !  

Père François BOUCHARD

Nous appartenons au Seigneur

Enfants de Dieu par notre baptême, notre vie repose entre les mains du Seigneur et nul ne peut nous séparer de Lui. Oui, avec Saint Paul nous pouvons dire que « nous appartenons au Seigneur ». C’est le Christ qui nous rassemble chaque dimanche. C’est Lui qui renouvelle notre joie de nous réunir en ce début d’année.  Nous croyons vraiment que le Christ Jésus nous appelle à Le célébrer à Saint-Louis-en-l’Île et c’est en son Nom que nous accueillons tous ceux qui arrivent dans notre paroisse.

La Maison Saint-Louis aussi se réjouit d’accueillir cinq nouveaux séminaristes. Et certains sont venus de loin ! Joseph (30 ans) découvre la vie parisienne. Arrivé du Vietnam il y a un an, il débute sa première année de formation à Paris. Tout comme Guillaume (23 ans), du diocèse de Reims, qui a quitté la douceur des Ardennes pour découvrir l’Île Saint-Louis. Jean (23 ans), du diocèse de Châlons-en-Champagne, a passé ses trois années d’études à Lille avant d’entrer au Séminaire pour son diocèse d’origine. César (30 ans) entre au Séminaire pour le diocèse de Paris. Il a grandi dans les Yvelines et travaillé à Londres. Antoine (27 ans), parisien accompli, a traversé un bras de Seine pour rejoindre notre paroisse insulaire. Avec Thomas, Antoine et Foucauld qui se réjouissent déjà de cette deuxième année à Saint-Louis, nous sommes heureux d’accueillir également le Père François, du diocèse d’Autun. En mission d’études à Paris, il partagera avec nous notre vie fraternelle et étudiante.

Bienvenue aux nouveaux ! Que Dieu nous remplisse de la joie de Le servir et de marcher ensemble à la suite du Christ. 

Quelle joie de vous rencontrer ou de vous retrouver ! Soyez sûrs que nous prions pour vous. 

La Maison Saint-Louis